jeudi 1 novembre 2012
cheikh larbi bensari
Il existe de nombreuses recherches et études sur le chant traditionnel. Nous n'avons donc pas à nous étendre ici sur ses origines,son histoire, ses constructions. Ce genre, qu'on appelait sanaâ (oeuvre) en raison de la précision de ses règles et de sa construction, est appelé aussi el ala (instrument) pour le différencier des chants de la campagne qui n'utilisent aucun autre instrument de musique que les tambours et flûtes de roseau. Cette musique est tout ce qui reste des siècles d'or qu'a connu la civilisation musulmane en Andalousie. C'était alors la musique la plus évoluée du monde ; conservée par des gens qui s'y intéressaient, elle nous a été transmise de génération en génération. Malheureusement, sa pureté première a été altérée par l'influence des musiques spécifiques aux divers peuples que cet art a rencontrés. D'un autre côté la
musique classique traditionnelle en a pris diverses colorations et s'est assuré certaines acquisitions. Ainsi se sont formées en Algérie les différentes écoles qui marquent son évolution dans les régions de Constantine, d'Alger et de Tlemcen, sujet de notre article.
L'artiste le plus en vue de l'école de Tlemcen "gharnata" au début du siècle fut El Hadj LArbi BenSari né en 1857 dans une famille venue de la campagne, connue sous le nom de Ouled Ali BelHadj. Il commença son métier de musicien avec le cheikh Boudhalfa. A la mort de ce dernier, il le remplaça tout naturellement à la direction de l'orchestre et rivalisa avec les plus grands maîtres de l'époque, les Bakhchi, Baghdadi, Triki, Maqnin, Bendali Yahya et bien d'autres.
La musique et la poésie s'épanouissaient alors largement dans les milieux d'artisans qui formaient la masse de la population de Tlemcen. Le chant était apprécié de tous. Pourtant les familles interdisaient à leurs enfants de faire de la musique en professionnels, interdiction qui n'empêcha pas l'apparition de nombreux chanteurs et musiciens prêts à embrasser ces carrières. Ainsi les traditions de Tlemcen se
répandirent-elles dans toute la région ouest de l'Algérie et en particulier à Nedroma
qui accueillit favorablement la musique classique traditionnelle lui donnant un grand nombre de maîtres comme le cheikh Almargouni, l'aveugle.
Ce poète inspiré et musicien de talent écrivit de nombreuses qacidas appréciées encore de nos jours comme "Ya layemni fli'ati".
Le cheikh Rahal, son contemporain, écrivait lui aussi les poèmes qu'il chantait. Après eux viendra le cheikh Kaddour BenAchour El-Idrissi qui laissera un immense recueil de poèmes jamais édité ; sa qacida la plus célèbre est "Ouelfi meriem". A notre époque, la ville de Nedroma connaît un grand nombre d'artistes, chanteurs et poètes de grande valeur ; parmi les plus connus citons le Cheikh Mohamed Ghafour.
A l'est de Tlemcen, la tradition "gharnata" fut conservée par Mostaganem. Cette ville a également connu des célébrités en grand nombre. Au début du siècle, l'école gharnata fut dominée par les cheikhs Ben Dadda, Mohamed Bensaadoune, Hmida BenKedadra, et le chanteur Si-Hmida Snoussi.
C'est à la génération suivante qu'appartient le cheikh Abdelkader Bentobji qui a composé la musique de la célèbre qacida "Elmersoul" (Ah ya ouelfi effi ou qasri ettihan) du cheikh Belkacem ould Saïd Eldjennadi. Né près d'Azazga en Kabylie, celui-ci quitta son village très jeune pour Alger où il apprit la musique auprès du cheikh Ben Ali Sfindja. Plus tard il s'installa à Mostaganem où il résida jusqu'à sa mort (1954). Il
formera de nombreux élèves qui deviendront les maîtres de l'époque actuelle tels les cheikhs Mohamed Ben Hmidech, Lazoughli, Kaddour Ben Slimane, Hadj ElGhali Ould ElBey, Ali BenKoulla.
L'école de Tlemcen a eu une grande influence sur l'évolution culturelle de l'Algérie. Elle a joué un grand rôle dans la promotion du patrimoine musical algérien par la création de nombreux cercles et associations qui assurent l'enseignement et la conservation de la musique classique algérienne.
Le cheikh Elarbi BenSari a veillé lui aussi sur la pureté de cette musique, sa couleur traditionnelle et son authenticité. Il fut le premier à l'enregistrer sur disque. En 1932, il représenta l'Algérie au Congrès du Caire où il fit entendre les œuvres de l'école de Tlemcen, inspirées, dit-on, de la musique arabe de Grenade (d'où son nom de gharnata). Son fils Rodwane l'accompagnait ainsi qu'une troupe assez importante regroupant les meilleurs musiciens de l'époque. Depuis longtemps Rodwane assistait son père dans toutes les séances d'enregistrement ; c'est là qu'il avait été remarqué dès 1929 par le directeur artistique de la Gramophone qui l'avait encouragé à enregistrer ses propres interprétations.
Dès la parution des disques, ce jeune homme totalement inconnu devint un chanteur célèbre, aussitôt adopté par le public qui admirait sa voix et son interprétation originale. Sa carrière se poursuivit avec le même succès jusqu'en 1954, date à laquelle il cessa de chanter pour des raisons personnelles. Il vécut dès lors au Maroc où, disait-on, l'on entendait sa voix de temps à autre, dans l'appel à la prière qu'il lançait en qualité de muezzin.
De nos jours plusieurs artistes de Tlemcen connaissent la célébrité tant est grande l'activité musicale dans cette ville. Citons les cheikhs Briksi, Saqqal, Bachir Zerrouki, Mahmoud BenSari un autre fils du cheikh Elarbi, Boumédiène BenqBil, Abdelghani Malti et Boumédiène BenZineb qui ont tous consacré leur vie au service de cette musique et de son dérivé le hawzi.
dimanche 14 octobre 2012
mazagran que nous aimons
d'aprés BELKACEM BELHADJCHIKH
je vous parle de mon petit village (mazagran) mezeghrene ou bien (elma sgheren ) en berbere tamasghrene son appelation reviens a houara premiere appelation par sa decouverte ca veut dire l'eau douce jaillit partout , aprés la bataille de 1840 de emir abdelkader qui s'est derouler entre les troupes musulmans et 123 zouaves, elle a été officialiser en 1846 et a été commémorer par la construction de la colonne un grand monument et une statut marie, que nous en cet epoque ont l'appeler lella meryama , je me rappel moi meme le jour ou a été casser par la grande foudre c'etait en hiver, mazagran juste a coter de mostaganem ,par sidi belkacem le saint patron de la ville de mezeghrene un coin tranquille, en haut d'une colline, une vu tres agreable face a la mer ,extraordinaire, en mediterranée, au coucher du soleil, un horizon de couleur du coucher du soleil , les jardins trés florissants qu' ont les appeles el bassatines
donnent tant de parfum en passant par les petits chemins des jardiniers,qui traversent les jardins avec des petits carrées de legumes, et sillons des haricots verts , des poivrons , ont trouvent aussi sur notre chemin, des buches d"abeilles avec un excellent élevage de certains jardiniers du village font du vrai miel (a3ssel chahda;) a3ssal nahla
des orangers ,des citronniers,les figues de barbaries, les figues (cou de pigeon) onke al hmame il est trés b
orange sucree (mlakma)grefee que nous grefons un arbre avec d'autres fruits,les courgettes, les kabouya rouge(poitiron) pour l'hiver, comme la plupart des gens du village sont des proprietaires de leurs jardins,
c'est leurs activités principale toutes l"année toute une vie ou ils embauches d'autres travailleurs journaliers pour la recoltes des carottes ou des tomates en saison, sutout l'été
mazagran est tres connu de son agriculture depuis des siecles , notamment le cotton ,la laine, feuilles de fleurs pour le parfum,peau cuir; en periode de nos ancetres c'etait la ville qui fourni du cotton et du cuir pour les exportation a l'etranger par le port de mostaganem moristaga
les puits d'eaux sont déborder en hiver vu la quantité des eaux qu'ils contiennent a cause des nappes sous terraines, l'eau commence a couler sans etre inquieter par la baraka d'allah sobhanou, des sources d'eaux qui ne s'arretent jamais ,avec une eau tres douce bien fraiche citons parmis ses sources ; lala a3zouna, a3ouina a coter de la veille mosqué , ain boukhnoune a coter des oliviers , ain hmiane a coter de la poste , l'abrevoir de la place , (oui3net belhadj )route d'oran c'est la source de mes ancetres , charchara vers la ville de mostaganem
a l'interieur du village des ruines tres anciennes qui dates des anciennes legendes ,des batis avec de la terre rouge,parfois melangée de la chaud et de la paille, pour tenir de la chaleur en hiver et la fraicheur en été , des rues anciennes avec des petits chemins, la route national de hassi maméche qui traverse le village du passage vers d'autres villes
le chemin des cretes, la route des sablettes, lala kheira,route des jardins,
et beaucoups de petits chemins, l'ecole de garcon , ou nous avons commencer avec des classes de 43 eleves , filles et garcons mixtes, des enseignants tres sévéres .c'etait une epoque
certains éléves ne s'interessent jamais a l'ecole d'autres ,non au contraire font le maximum pour passer a une classe superieure,par contre d'autres eleves ont reussie dans leurs études et sont devenus ingenieurs, des enseignants, dans l'administration, a la culture, des universitaires, comme des filles et garcons, aprés un long parcour d'etude , ces le mérite de chacun et nul ne save ce que devient demain a chacun son destin (oua allah houa ouali bel oumour)
et nous sommes fiers de voir un de notre ville a reussi afin de donner une image a son village et son pays.
nous etions jeunes, nous organisons la coupe des quartiers, en football, la coupe est acheter par divers personnes et en plus les boissons et les gateaux, dans chaque match, la meilleur equipe gagne et remporte la coupe dans son quartier, les equipes sont : place, zitoune, kristel,kbourat,oui3na,
brarek, ses equipes font tous leurs possible pour gagner,si je me rappel bien les plus forts c'etait zitoune ,et la place ,des équipes trés fortes qu'ils avaient des bons joueurs et des jeunes vraiment sportifs en cet epoque.
nous voila a la saison des vendanges , ou les gens de un peu partout viennent travailler chez les vigneront et les propriétaire des jardins, pour la recolte des tomates ou salade ou carottes, et du raisins noir ou blanc.
des engins tracteurs tirent des remorques pleines de raisins noir ou blanc, en passant par la route national afin d'aller vider le chargement de raisin a la cave, pour la tranformation des vins et du vinaigre , toujour derriere la remorque nous avons une personnes qui surveille et empéche les enfants de s'accrocher afin de lui piquer et de lui prendre du raisins avec un long roseau et un crochet au bout.
le patrimoine culturel de mazagran existe toujour par son grand monument de 1840 la colonne
et par son ancienne mosqué qui été avant une egilse
ou ont trouvent aussi la veille mosque de kristel (a3ouina )qui date avant les temps de merinide 1600jc
la garnison des zouaves ou c'est passer la 2em bataille de mazagran de 1840 juste a coter du ouali sidi belkacem en haut,des traces des mures jusqu'a present des ruines tres anciennes
la bataille de sidi lakhdar ben khlouf allah yerhmou, contre les espagnoles qui ont voulu prendre la ville de mostaganem avec un grand bouclier des armées de sidi lakhdar une strategie de guerre, avec le pacha hacene,sultan d'alger c'etait la grande victoire des musulmans en cet epoque en aout 1558jc
le saint patron sidi belkacem a promis aux gens de hmiane qu'il vient un homme aprés moi mais je ne sait vous le dire je sais pas combien de temps ,dans un siecle ou deux, il va prendre la banniere verte de sidi belkacem (sendjek) avec vos enfants de partout du dahra, pour la cause d'allah sobhanou.contre l'invasion espagnoles.
cet terre est musulmane et reste musulmane cet terre des chorfas des mrabtines des elus d'allah, juqu'au jour dernier.d'apres ses paroles
jusqu'a nos jours les gens viennent de tous les coins pour passer chez ouali sidi belkacem bouasria la ziara
les mariées aussi, la grande fete de sidi belkacem le (taa3m kbir ) une grande fete qui reuni l'ensemble des ouled cheikh bouasria et ouled sidi maazouz et medjaher ,hmiane, et toute la region ,a mazagran pour une rencontre annuel comme la plupart des fetes .
comme a sidi mansour sidi charef sidi bendhiba .........
culture
groupe de aissaoua : el hadj bouasria -et adjel ammouri- mansour hachmi
groupe folklorique: nous avons en cet epoque mohamed fettouch, abdelkader benchemlloul- et kacimo bousmat
groupe karabila : belkacem boudria allah terhmou et mansour hachemi
groupe chaabi : mostapha bensalah - aek bousmat- aek bendaameche -boudria mohamed- belkacem belhadj cheikh- mohamed bensalah
groupe : moghrebi: khellil belkacem- harrag benmssahel-
groupe nass al ghiwane: mohamed guelmassi- ghali bouazza - laaredj bensmaine- sid ahmed benabdellah - touati benyoucef
groupe theatre: guarmi bensabeur-cheikh abderahmene -ghali krazini- nelkacem benabdellah- mansour benidriss-
UNJA: secretaire general belkacem belhadj cheikh 1986-1992
avec boudria abderahmene et mansour meghrouzi
sma section kechafa islamiya:mansour benidriss - adjel ammouri-
sport
WRBM club de foot
petanque
hand ball .........
,
pour terminer voila mazagran d'aujourdhui avec ses infrastructure et ses routes nouvelles , des habitations , des grands projets ont etaient faits par la commune de
mazagran que nous aimons tous et toutes .
mercredi 27 juin 2012
dimanche 24 juin 2012
vendredi 1 juin 2012
mercredi 25 avril 2012
chorfa de sakia hamra (fleuve rouge)
d'aprés BELKACEM BELHADJ
Cette province se distingue par la richesse de son patrimoine historique et archéologique, représenté par de nombreuses constructions et sites historiques. Certains de ces derniers remontent à la préhistoire et d’autres datent du XXième siècle. La très forte présence des communautés soufie dans l’histoire de cette province attire particulièrement l’attention. Cela en fait une région de grande concentration des Zaouïas, la grande zaouia est de l'ordre de sidi abdelkader djillali en particulier sur la ligne qui va de l’oued Sakia El Hamra , jusqu'a l’Oued Draa un chaplet de zaouias
apres la prise de granada un grand nombres de maures andalous ont quitter l'espagne, ont choisi une terre calme de serinité de l'ame, se consacrer a la religion et la priere, de allah sobhanou, ils ont choisi pour retraite cet université religieuse de saquia hamra, et oued draa, des hommes considerables, des savants , des docteurs de reputations dans la science, et dans les lettres, des hommes de priere, parmis eux sont des oualia salihine, qui possedent des miracles, et de don de prescience, entierement vouées a allah sobhanou, se sont les chorfas les mrabtines, ces hommes de foi, ont coraniser les populations du maghreb, enseigner , leurs mission d'aller vers l'est a l'ouest et le centre de l'algerie, c'est grace a eux que devait revenir tout, l'honneur de l'islamisation, ses élu de allah.
cette catégorie de chorfa originaire de saquia hamra le fleuve rouge d'aprés les historiens c'est bien le lieu des nobles qui peuplerent l'algerie en cet epoque, la genealogie des chorfa remonte a sidna idriss 1er ,et puis idriss deux ,par ses enfants,
Idriss II laissa douze enfants : Mohammad, Ahmed, Abou-el-Kacem, Amran, Omar, Ali, Aissa, Yahya, Hamza, Abd-Allah, Daoud et Kheither. L’aîné Sidi Mohammad resta à Fez et fit le partage des autres villes entre ses frères sur ordre de sa grand-mère Kenza.
A Ahmed :Habta avec ses montagnes et ses dépendances
A Abou-el-Kacem :Ceuta et sa banlieue
A Amran : Dados et sa banlieue
AAmar ou Omar: Tedjehassa et ses dépendances
A Ali : Tafilalet et ses dépendances
A Aissa et Yahia Marrakech et ses environs
A Hamza et Abda Allah :Taadla
A Kheither : Malaga et Grenade ainsi qu’une partie du Djebel el Fath.( Gibraltar)
Au cours des siècles qui suivirent leurs descendants ont été repartis dans tout le Maghreb. Citons les principaux :
Les Beni Djermoun sont les habitants de Fez. Une de leur fraction habite a Figuig, l’autre dans la ville de Tlemcen.
Les Sak’Fiyoun habitent eux aussi Figuig , leur ancêtre ayant bâti une maison en dur avec un toit ( Sakkaf ) d’ou leur dénomination.
Les Oulad Mimoun se repartissent chez les Beni Ysnas, une dans la montagne de Beni Snous (Wilaya de Tlemcen) Les Beni Toudghir formaient une tribu nomade parmi les Arabes du Maghreb. Ils avaient cent vingt-quatre cavaliers. Ils habitaient à Tames et Doukkala province très fertile dans le Sud Marocain. La majorité des autres descendant habitent Figuig et sa région, tandis que les Bani Hamza habitent Constantine , les Beni Hamza habitent Ksar El Hadid prés de l’oued Meguarra. Les Ouled El Kadi par contre habitent Biskra. Les Ouad Harfad sont localisés dans le Djebel El Alaam prés de Tetouan une autre fraction réside à Marrakech, une autre à Tlemcen et Tunis. Leur ancêtre est Abdessalam Ben Mechich célèbre Saint marocain mort en 1227 de J-C et enterré au Djebel El Alam.
Les Ahl Wazzan campent surtout à Angad chez les Bani Horma. Les Bedriyite descendent de Hamza Ben Idriss et habitent Tlemcen , une de leur fraction se trouve à Sakiet El Hamra une autre dans le Djebel Ammour ( prés d’Oran). Les Beni Ziane habitent Tlemcen, une de leur fraction les Oulad Chaieb mène une vie nomade dans le Sud Algérien, une autre parmi les Arabes nomades de Tunisie. Sidi Abd Allah Ben Hussein enterré à Tamessmouda tire son origine de Massmouda ; il est l’ancêtre de plusieurs chorfas.
nous constatons que cette grande zaouia de saquia hamra en cet epoque etait le point de rencontre de tous les oualia salihine qui sont passer par la grande ecole de saquia hamra, l' université des sciences religieuses qui a fait des hommes de priere des elus d"allah, des vrai mrabtines qui eux meme ont enseigner le coran a des populations , leurs missions etaient de faire passer le message d"allah sobhanou.
samedi 11 février 2012
les hommes qui ont marqué mostaganem
d'aprés BELKACEM BELHADJ
cheikh si habib bentria allah yerhmou née en 1902 a mostaganem a son jeune adhere au cerle du croissant ;comme devint l'animateur principale du centre en music andalous , C'est en 1950 que s'éteindra à l'âge de quarante huit ans Si Habib BENTRIA, laissant derrière lui un bouillon de culture des plus favorables que les générations suivantes sauront mettre à profit dès les premières années de l'Indépendance du pays. le maitre hadj moulay ahmed benkrizi née le 04/septembre 1931,est celui qui a introduit la musique sanaa de l'ecole d'alger a la ville de mostaganem en cet epôque.et president d'honneur de l'association ibnou badja . et encore en 1967, avec hadj bouzidi benslimane , fut la fondation de la section de music andalous au cerle du croissant a mostaganem. cheikh ali un des grand maitre du hawzi et du medh, de son vrai nom madani benkoula allah yerhmou, née le 13/sept/1916 a mostaganem comme il appartient a la famille bensadoune trés connu ,de son activité agent caissier au hammam sbaa (lion) aussi l'un des fondateur de l'esperance de mostaganem, (ESM) ses compagnons c'etaient mostepha benhamou, harrag boudjellal, baghdad belkihal, maazouz bouadjadj,ses cousins hadj mohamed et hadj ahmed bensadoune cheikh ali allah yerhmou, est mort en 1967 a mostaganem. cheikh MOSTAPHA BENHAMOU dit cheikh sika né le 13 avril 1919 a mostaganem, a tidjditt, le plus ancien de la ville, ou beaucoups de maitres (chioukh) sont connu a mostaganem viennent de ce quartier. le grand cheikh MAAZOUZ BOUADJADJ né le 16/ janv/ 1935 a mostaganem a tidjditt,c'etait l'un des joueurs de flute en cet epoque d'ou il a commencer, en ecoutant cheikh belkacem oueld said, et abderahmane benaissa, cheikh maazouz etait l'eleve de ses derniers. a l'age de seize ans a commencer a chanter la premiere chanson AL ACHIQUA comme il a connu beaucoup de chioukh , dans sa vie comme cheikh hammada, cheikh menouer, cheikh ali, en 1964 il crea son orchestre de chaabi a mostaganem avec si benkabouche, cheikh benhammou,beladjine, belhouel, et bekheira. on a aussi les cheikhs, chanteur chaabi, zeguiche aek, Maamar chadli, habib betahar, aek Bendameche de mazagran ,nourine oueld moussa, hmida besseghier, aek ghlamallah, mohamed Berrahou, hmida Benhenda, mohamed Baha, belkacem Belhadjchikh de mazagran , mostapha Bensalah de mazagran , mohamed Boudria de mazagran . BEDOUI cheikh mohamed el mamachi,de son vrai nom mohamed belarbi, cheikh djillali ain tedles cheikh hamada de son vrai nom mohamed GOUAICHE née a bed touahria en1890 et puis s'installe difinitif a mostaganem ville en 1910 cheikh hamada parmis les hommes qui ont marqués mostaganem un personnage trés connu dans la music el fen bedoui, cha3r el malhoun, interprete et chanteur. cheikh bouras ,cheikh khaldi ,cheikh laadjel, theatre abdelkader oueld abderahmane dit abderahmane kaki ;acteur et metteur en scene algerien donc 20 pieces theatrales née le 18fev 1934 dans le quartier de tidjditt. et mort le 14 fev 1995 a oran .
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